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Poupougnou's blog
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12 septembre 2008

David Suchet et moi...suite

Oui, je peux bien l'associer à la réalisation du sixième bloc puisqu'il m'aide quand même à tenir le coup!! (Même si moi, je ne l'ai jamais vu en vrai, sans les moustaches gominées, comme quoi y'a bien de la veine que pour la canaille!!!..je préviens d'ailleurs mes lectrices habituelles que la première qui prétend avoir vu David Suchet en vrai, et en string à petite souris, je l'étrangle!)

        Bref, voici où nous en sommes, à c't'heure:

bloc_papillons

ensemble_12_septembre

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Commentaires
J
Drôle de missionnaire (1982) <br /> Greystoke, la légende de Tarzan (1983) <br /> Bigfoot et les Henderson (1986) <br /> Espion, mais pas trop ! (2002)
F
David Suchet, c'est le gros des pieces jaunes?
J
My godness, quelle soiree. Dire que je remets ca ce soir chez Roger Ackroyd, un voisin qui vient de rentrer par l'Orient-Express d'une croisiere sur le Nil avec dix petits negres, un saint homme, se devouer ainsi pour les populations africaines. J'ai l'haleine d'un renard qui aurait avale un rat pourri, et la tete comme si tous les elephants de l'armee des Indes y sautaient a la corde. Je suis allee reciouperer ma automobile dans la mare du docteur, il n'etait pas content pour son chien, ce vieux batard galeux (le docteur, pas le chien). Il s'en rachetera, il a les moyens, quand une vieille pie du canton tire sa reverence, tous les heritiers y passent et c'est le docteur qui touche la pactole, ce que c'est que le hasard n'est-ce pas. J'ai un peu attrape froid, ca explique la larme de whisky dans mon the ce matin, j'ai un chat dans la gorge, et ma haleine me dit qu'il n'est pas mort hier. So, quel est l'agenda pour la journee. Dejeuner chez la veuve Bigsby, je vais encore me tarter ses deux filles, stupides comme des police constables et laides comme leur mere. Ah le vieux Bigsby a du etre bien soulage de partir, meme si avaler de l'arsenic est une forme de suicide bien douloureuse, il faut avouer. Il leur a laisse une belle somme le Bigsby, pas assez pour marier les deux tromblons, mais suffisamment pour que la veuve interesse son intendant, l'ancien jardinier de Lady Charterley que Lord Charterley a vire a grand coups de cravache. Il avait du mal tailler les roses ou quelque chose comme ca. Ensuite, the chez le reverend. Avec un peu de chance, nous finirons par jouer aux cartes et je pourrai lui faire cracher quleques shillings, certes pas autant que ce que peut lui soutirer le pere Wallace, le tolier de la public house du bled, "Le Lutrin". On dit qu'il lui doit une veritable fortioune, mais le pere Wallace est patient, et puis bien serviable, je le vois souvent dans les bois expliquer a Geraldine, la pupille du reverent, comment identifier les bons champignons. Mais by Jove ou ai-je encore mis mes lunettes? Ah-ca, il est temps de me mettre en chasse, Une fine mouche comme moi aura tot fait de les retrouver, je vous le garantis! A la revouyioure!
Z
ça avance, ça avance!!Mais bon sang ! y cré qu'thié lé zouziâ a la couette raide!O' doué l'fatiguer d'garder tielle pousition!!!!!!!
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